dark side of the moon

 

bon...

esprit de Noël es-tu là ?

oui, bien sûr, quoi qu'il arrive ! à certains endroits c'est plus difficile qu'ailleurs mais ici c'est facile, bien qu'on aille vers l'été. 

les magasins se font séduisants, il y a des sapins partout

wanted for christmas

 en en a rêvé, ils l'ont fait !

bricolage du noël du dimanche

 comme en alsace dans le moindre village

 

 

du papier blanc toujours, des ciseaux et les flocons de neige de la semaine dernière, un point de colle et le tour est joué !

noël blanc

ou bientôt.

non, ce n'est pas au quebec, mais à chamonix (merci béné)

billet d'étonnement

ou rapport d'étonnement.

c'est ce qu'on écrit en arrivant dans un nouveau poste, plutôt dans le privé, quoi que je l'aie vu récemment dans mon environnement, pour faire part de ses premières impressions sur l'organisation. cela fait appel à la sincérité et surtout à la spontanéité. c'est ce qui saute aux yeux, qu'on voit avec l'oeil neuf qu'on perd très vite une fois installé. 

évidemment, ça connaît ses limites. si on sort la grosse artillerie, si on dit que tout est archi nul on va pas démarrer très bien. 

donc à utiliser avec... doigté, mais à utiliser quand même (surtout si on vous le demande).

critique : né d'aucune femme

de laurent bouysse, 2019, ed. Babelio

Rose, petite paysanne pauvre, mais à la forte personnalité, est vendue à 14 ans par son père à un riche propriétaire terrien.

encore un roman polyphonique avec un style qui s’adapte à chaque personnage lorsqu’il raconte sa portion d’histoire. un roman à suspense, prenant, mais aussi sombre, violent, révoltant. 

pas précisément une lecture qui décontracte, mais un livre qu’on ne lâche, une fois commencé, que la dernière page refermée.

bricolage de noël du dimanche

toujours avec du papier, blanc de préférence, un peu de patience, et des ciseaux, toujours pas sorcier. bel effet final...

 sur la table (bien repassés), sur l'assiette, si elle est foncée, ou sous le verre

à propos de poésie

nouveauté hier soir à la maison, une soirée poésie et musique. et pourquoi pas ?

le concept : ceux qui veulent, disent ou lisent ou font lire un poème de leur choix, et entre chaque poème s'intercale une petite plage musicale choisie par moi.

hier soir, kipling, eluard, verlaine, esther grank, CI, du bellay, jacques brel, apollinaire,

et pour la bande son, pink floyd, isabelle boulay, arthur h, grand corps malade, amir et indila, dire strait, mariah carey et puisqu'il faut bien du carburant pour déclamer : un buffet alimenté par tous, et du vin. 

elle est pas belle la vie ?

la casa de papel

et bien je n'ai pas changé d'avis depuis cet article du 27 mai 2020.

je confirme que la casa de papel est bien la meilleure série que j'aie vu, ever. 

à l'époque je n'avais pas encore vu the americans, mais quand même... toutes ont un défaut, une chute molle et décevante (game of throne), ou un goût d'inachevé (the americans ou le bureau des légendes), des invraisemblances (homeland). 

la casa de papel fait vraiment un sans faute. on s'était fait tirer l'oreille pourtant pour s'y engager parce que le scenario semblait léger. mais vraiment l'histoire est très bien imaginée, complexe et sophistiquée, les acteurs excellents même pour les rôles secondaires (tamayo et les autres flics,  ou les warriors de la dernière saison), un montage brillant, aucune baisse de suspense, de l'émotion et une chute grandiose. 

franchement c'est une réussite totale ! on a adoré !

poésie

au hasard des balades et même parfois loin en forêt, on fait

des jolies découvertes