le groupe est très organisé.
chacun à son tour doit organiser sa course (c'est le hare, col. 3) et aussi faire le compte-rendu d'une autre (le scribe, col.4). la course elle-même est un genre de course d'orientation avec des balises à terre, de farine, de carottes rapées, de craie ou même de paprika (selon l'état du sol), des fausses pistes et des vraies. les plus rapides sont appelés les fucking running bastards.
chacun à son tour doit organiser sa course (c'est le hare, col. 3) et aussi faire le compte-rendu d'une autre (le scribe, col.4). la course elle-même est un genre de course d'orientation avec des balises à terre, de farine, de carottes rapées, de craie ou même de paprika (selon l'état du sol), des fausses pistes et des vraies. les plus rapides sont appelés les fucking running bastards.
et à chaque balise repérée tout le monde hurle on-on. on peut se regrouper en cours de course pour se désaltérer.
dans le groupe il y a des postes permanents. le GM ou RA (grand master ou religious advisor) qui animent le cercle d'après run, qui peuvent ou non tourner chaque année.
il y a le haberdasher (responsable des tee-shirts), le hash cash (trésorier), le on-sec (secrétariat). des évènements sont organisés, depuis le bbq (ici le braai) en passant par noël, le red dress run (course en robe rouge hommes et femmes)
ici à pekin
ou encore des interhash (plusieurs hash qui se retrouvent dans un pays à une date déterminée). on fête aussi certaines courses. au Cap la 2000ème fera l'objet d'un we entier de courses et de... bière, à la campagne !
à suivre
Fucking running bastard flying frenchman, présent !
RépondreSupprimernote : le hash en robe rouge à Pékin m'inspire deux choses :
1/ ça doit pas être facile à organiser avec les autorités locales
2/ le rouge en Chine, c'est un poil éculé non ?