comme chacun sait (voire) je ne mange jamais à la cantine.
pas qu’à paris elle soit particulièrement mauvaise, mais
depuis que je travaille, soit près de 30 ans, je me suis toujours réservé le
temps du déjeuner pour faire mes petites affaires personnelles, courrier, travail
administratif, lecture de la presse etc… donc je pique-nique sur un coin de mon
bureau et ça me convient très bien
en ce moment je suis dans le trip calamars grillés (carrefour
en fait de délicieux), pain aux noix, et… vache qui rit. plus un petit dessert
pour finir évidemment. c’est répétitif, j’en conviens, mais ça me plaît.
la vache qui rit… petit triangle de fromage fondu dont le
système d’ouverture est pour une fois effectivement « facile » : on
tire la languette et le dessus du triangle se déchire parfaitement. dedans un
fromage à tartiner aussi appelé crème de gruyère pas nos anciens. les amateurs
de fromage purs et durs diront que ça ne vaut pas un beaufort de 24 mois ou un
munster bien dégoulinant.
ben moi je trouve ça très bon, et en plus ça ne fait pas
puer les doigts, et si ce n’est pas « le fromage des gastronomes en culotte
courte » c’est quand même un poil régressif…
pis si vous ne faites pas vos précieux et que ça vous intéresse, y a un tas de recettes disponibles
sur la toile, comme le velouté de courgettes à la vache qui rit, la brik au
steack haché et vache qui rit, les artichauts à la vache qui rit ou encore, mais
oui, le magret de canard sauté, fèves crémeuses à la vache qui rit et tuiles
aillées.
bon appétit
Gamine, en dehors du fait que je mangeais de la vache-qui-rit sans grand plaisir, disons-le, je collectionnais les autocollants offerts dans les boîtes. De même que dans les stations Shell, je récoltais avec grande excitation les coquillages offerts à chaque plein de la voiture familiale.
RépondreSupprimerDécidément, tout se perd.