bien entendu nous sommes revenus du maroc avec... un tapis.
fils cadet qui sort tout juste de son école de commerce a trouvé là un maître en la personne de ahmed, ci-devant marchand de tapis, qui vendrait des lunettes à un aveugle et des pataugas à un cul de jatte.
donc après force thés à la menthe, valse de tapis, grands, petits, en soie ou en
laine (vivante, pas morte, c'est à dire résultant de la tonte et non pas
d'un tannage), force palabres et négociations, nous voici les heureux
propriétaires d'un immense tapis berbère qu'il ne reste plus qu'à
saucissonner pour en faire un paquet facile à trimballer en avion...
wouahou ! Super joli !
RépondreSupprimerc'est vraiment superbe !
RépondreSupprimerc'etait vraiment un marchand de tapis de niveau épique ! il était fort, très fort même...
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