c'est la loi de l'emmerdement maximum ou loi de murphy... j'y pense chaque matin depuis que, m'étant récemment fait voler la roue arrière de mon vélo, je mets maintenant deux antivols, un pour chaque roue. ce sont exactement les mêmes antivols, donc les clés se ressemblent beaucoup, du coup systématiquement, à chaque fois que je veux les dévérouiller la clé que je choisis pour commencer est la mauvaise.
revenons donc au murphy en question, un ingénieur en aérospatiale, et à sa loi. celle-ci dit que "si une chose peut mal tourner, alors elle va infailliblement mal tourner". on peut donc en conclure que "le pire est toujours certain". c'est la façon pessimiste de considérer les choses. il y en a d'autres, plus pragmatiques. on peut par exemple partir du principe que si une chose peut mal tourner, il y aura toujours des cas où ça tournera mal et qu'il faut donc tenir compte de ce risque quand on conçoit quelque chose.
bon, je fais court et vais à l'essentiel. mais je vous invite, si ça vous intéresse, à aller voir l'excellent article de wikipedia sur le sujet (dont je me suis inspirée). vous verrez qu'on parle aussi, à ce sujet, du paradoxe du chat beurré. j'aime bien. c'est la combinaison de deux principes : un chat retombe toujours sur ses pattes et une tartine beurrée tombe toujours du côté beurré. la question qui apparaît donc, évidente, est celle-ci : qu'arriverait-il si on attachait une tartine beurrée sur le dos d'un chat (côté beurré vers l'extérieur) et qu'on lançait le chat par la fenêtre ? si on ignore les réponses du type les voisins appelleraient la police, on est bien embêté, ces deux adages étant contradictoires...
Ce chat nous rappelle étonnament celui de Schrödinger qui est lui aussi entre deux état, dont un bien funeste...
RépondreSupprimercela nous amène donc à la question : Que donnerais un chat de Shrödinger à dos beurré ??