une belle histoire

lorsqu'on est allés marcher avec les éléphants, nous avons partagé l'activité avec un couple étonnant : monsieur noir en gandourah avec une calotte sur la tête, des baskets à strass et des grigris autour du cou, la cinquantaine, et une jeune femme dans sa petite vingtaine, en mini robe en dentelle blanche et talons aiguilles, flanquée d'une fillette de 3-4 ans. ils venaient du nigeria. 

bien sûr on s'est tous regardés, l'air goguenard.

à la fin de la visite, ils se sont jetés sur le magasin de souvenirs et monsieur s'est approché de madame mère pour lui offrir un cadeau.

j'avoue... ça nous en a bouché un coin.

au soleil de l'été

 faire le lézard...

 

et boire du pinard

elle est pas belle la vie ?

trois couleurs : orange

je vous ai déjà fait le coup, en rose, vert et jaune et même bleu et je recommence

flamboiement

pretoria (1)

 

moins de choses à voir dans pretoria, capitale administrative d'afrique du sud qu'à johannesburg sa voisine de 50 km.

mais tout de même

les bâtiments de l'Union, où siège le gouvernement est plytôt majestueux et dominent toute la ville

en contrebas, au milieu de jardins fleuris

 

le père de la nation embrasse la ville, dans un geste christique

et encore plus bas le monument dédié aux premiers colons, 

les voortrekers.

statue équestre de louis botha, fermier et général boer, premier chef de gouvernement d'afrique du sud indépendante, en poste de 1910 à 1919 et qui fut signataire du traité de versailles

 

juste une illusion

c'est une de mes photos préférées. je l'avais faite à bo-kaap, un quartier très pittoresque du cap. 

je la trouve belle parce qu'on a une illusion d'optique en la regardant. on a l'impression que les oiseaux sont peints et s'envolent du mur

tests en stock

on a fait tellement de test ces derniers mois, qu'on est maintenant équipés. dès qu'on a la goutte au nez, hop on s'y colle. 

non je plaisante. mais c'est quand même nettement moins désagréable quand on se le fait soi-même : on sait jusqu'où ne pas aller trop loin...

et si on n'est pas sûr on peut aussi faire un PCR...

 

sexisme

à gauche les hommes, à droite les femmes 

 

 oh misère...

détails d'éléphant

un éléphant c'est gros et en soi c'est déjà intéressant.

 

mais quand tu le vois de vraiment près c'est carrément incroyable

 

et ça c'est la queue. des poils qui la terminent on faisait des bracelets. j'espère qu'on ne les tuait pas pour ça mais c'était aussi l'époque des bracelets en ivoire.    

je possède l'un et l'autre mais autant dire que je ne les mets jamais...

main dans la trompe

 un poil artificiel, certainement, 

mais on a été ébaubis quand même

 

marqueurs alimentaires

petit jeu. essayez de classer ces produits alimentaires comme caractérisant leurs amateurs comme conservateurs ou  progressistes, de droite ou de gauche, féminin ou masculin

côte de boeuf

oeufs mimosas

burger

tartine avocat

couscous

quinoa

tartare

foie de veau

vin rouge

nutella

kebab

riz

huitres 

saucisson

caviar

misère... tous dans des cases... et des cases pour tous..

être ou ne pas être... un super héros

 

critique : green lights

de Matthew McConnaughey, Seuil Ed. 2021

green lights, feux verts, tout ce qui va bien sur un chemin.

je ne suis pas spécialement fans des autobiographies, mais le type là est spécial et le livre l'est aussi. 

fresque du temps qui passe, faits saillants, extraits de journaux intimes, aphorismes, photos, gribouillages surlignés, c'est l'histoire sincère d'un ptit gars du texas qui craint son père et aime sa famille, qui prie, qui fume et écluse les bières, qui part en road trip avec son chien ou en amazonie tout seul. 

un américain qui se cherche, à cent lieues des affectations hollywoodiennes et qui est pourtant, à mes yeux, avec di caprio, un des meilleurs acteurs de sa génération

purple night

sacrée soirée du temps des fêtes dans un lieu assez féérique, quoique bruyant...

les pieds dans le sable et la tête dans les étoiles.. ou les loupiotes...

les arpions de madame mère

 

                                   ça c'est de la photo...

vannerie de compétition

j"en connais un rayon sur la vannerie, je dois le dire, mais là, au hasard d'une expo, j'ai vu des trucs sublimes 

ils étaient à vendre, mais je me suis abstenue. ils valaient quand même 400 euros...
 

critique : ainsi résonne l'écho infini des montages

de khaled Hosseini. Ed. Place des auteurs, 2013.

pays déchiré, enfance sacrifiée, amour, origines, déracinement, exil, integration.

une histoire afghane, dans toute sa tragédie qui n'en finit toujours pas 10 ans après la parution du livre. poignant bien sûr.

dommage cependant que l'auteur se lance dans des digressions qui éloignent le lecteur du sujet et lui font perdre le fil en même temps que son émotion.