Derriere ma f'netre
La près d'l'escalier,
Enfin c'est plutôt le coin,
Où tout le monde s'assoit pour téléphoner
J'vois un rayon de soleil qui passe
Et un p'tit bout de jardin
Du bâtiment d'en face.
Depuis ma fenêtre,
J'ai vu qu'hier après midi
Il y a avait eu une fête,
Un pique-nique plein d'femmes en saree
Et d'sahibs en kurta
Sur ce morceau de verdure
Et ben devine quoi ?
Ce matin, c'est jonche d'ordures...
Des restes d'assiettes en alu
Des chaises renversées, même pas retenues,
Des bout d'papier gras,
Bien dégueulasses
Et des restes de repas
Partout sur la place.
Depuis ma fenêtre, j'vois cette misère
Dans ce p'tit jardin qui avant était bien vert,
J'le trouvais sympa, voire même un peu intime
Mais maintenant c'est plus qu'un champ de ruines...
Franchement, quand je r'garde depuis ma f'nêtre,
Enfin si on peut l'appeler comme ca,
Y a la déprime qui m' guette
Tellement c'est crade en bas
Et j'me dis qu'il vaut mieux arrêter de regarder...
Bon allez laisse tomber,
Je retourne bosser !
La près d'l'escalier,
Enfin c'est plutôt le coin,
Où tout le monde s'assoit pour téléphoner
J'vois un rayon de soleil qui passe
Et un p'tit bout de jardin
Du bâtiment d'en face.
Depuis ma fenêtre,
J'ai vu qu'hier après midi
Il y a avait eu une fête,
Un pique-nique plein d'femmes en saree
Et d'sahibs en kurta
Sur ce morceau de verdure
Et ben devine quoi ?
Ce matin, c'est jonche d'ordures...
Des restes d'assiettes en alu
Des chaises renversées, même pas retenues,
Des bout d'papier gras,
Bien dégueulasses
Et des restes de repas
Partout sur la place.
Depuis ma fenêtre, j'vois cette misère
Dans ce p'tit jardin qui avant était bien vert,
J'le trouvais sympa, voire même un peu intime
Mais maintenant c'est plus qu'un champ de ruines...
Franchement, quand je r'garde depuis ma f'nêtre,
Enfin si on peut l'appeler comme ca,
Y a la déprime qui m' guette
Tellement c'est crade en bas
Et j'me dis qu'il vaut mieux arrêter de regarder...
Bon allez laisse tomber,
Je retourne bosser !
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