si on prend la température de la pièce quand elle est climatisée et qu'on met la clim' en mode "sweep", on observe une correlation possible entre le fait que polka monte sur le lit et l'heure à laquelle le réveil sonne. il est alors possible de faire une série d'expériences sur différents groupes avec un plan d'expérience croisé orthogonal. on peut alors calculer le fcomp de fisher sur les groupes " nicolas récite sa litanie", " quentin écoute sa musique à fond", " shiv fait cramer les tartines" et " azhar utilise 689 litres d'eau pour nettoyer la voiture en période de forte chaleur dans un pays qui manque d'eau".
les comparaisons 2 à 2 de ces conditions d'expérience, en passant par le test de dunnet, montrent que le risque de première espèce de rejeter à tort l'hypothèse H0 "il n'y a plus d'eau pour la douche" dans une famille de comparaisons peut être approximée par la somme des risques de première espèce de rejeter H0 "les lunch box ne sont pas prêtes" à tort dans chacun des groupes.
en calculant donc la somme des carrés des écarts à la moyenne inter divisée par la somme des carrés des écarts à la moyenne intra, le tout multiplié par l'age des sujets et la quantité de chappati qu'ils ont mangé dans les dernières 53 h, on obtient une correlation significative, d'après les test de student et celui de ashok kumar (seuil critique .01) entre le fait que ce texte s'éternise et que de ce fait personne n'est allé jusqu’au bout.
Et vice-versa...(:
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